De tout le temps, lors de périodes de crise, il y a toujours eu des secteurs d’activité, ou des zones géographiques, qui ont volontairement ou non, pu tirer leur épingle du jeu.
Par exemple, en cette période de confinement liée au coronavirus, et donc de peur « du manque », les Pastiers ont vu leur carnet de commandes se remplir à vitesse grand V et ainsi leur activité fonctionner à plein régime.
Un autre secteur pourrait, en réaction à la situation inédite qui nous est imposée, connaître dans les semaines et les mois à venir un regain d’intérêt fort : l’immobilier de résidence « à la campagne » … À l’air libre !
En effet, entre le besoin et/ou l’envie de ne plus se retrouver confinés dans un espace clos, sans extérieur pour eux et leurs enfants, associé à la découverte d’une certaine qualité de vie à travers le « télétravail », bon nombre de citadins vont se mettre en quête de leur « havre de paix ».
Ainsi, des zones géographiques vont retrouver un attrait certain et voir du même coup la valeur du prix au m2 de leur territoire progresser.
Les communes limitrophes aux grands centres urbains vont être ciblées pour des projets d’acquisition au titre de résidences principales au travers de recherches du type appartement avec balcon et surtout petite maison avec jardin.
Les zones situées à 1h30 à 2h de ces mêmes grandes agglomérations seront épiées dans le cadre de recherches de résidences secondaires avec de l’espace synonyme de liberté.
Fort de cela, notre nouvelle grande région risque de voir certaines zones comme le Périgord et une partie de notre ex-Limousin connaître un regain d’intérêt pour l’immobilier de type « maison à la campagne avec des extérieurs… ».